Sortir de l'histoire officielle

    


Le rêve du Celte De Mario Vargas Llosa

Dommage : Pandora Papers : Mario Vargas Llosa, toujours fâché avec les impôts «Dans un courrier adressé à El Pais, l'écrivain a vivement démenti toute connaissance de cette situation fiscale, et assure que, depuis qu'il réside fiscalement en Espagne, tous ses revenus sont strictement déclarés. En avril 2016, au micro de France Inter, l'écrivain avait toutefois annoncé la couleur de ses opinions : « De nos jours, il faut combattre [l'évasion fiscale] avec la loi et en réduisant les impôts. Il y a des pays où les impôts sont comme des expropriations. [...] Il faut respecter la loi pour que la démocratie fonctionne, mais il faut que la loi soit réaliste et pas irréelle. Il y a des lois qui vous poussent à transgresser la loi », affirmait-il.»
Mario Vargas Llosa élu à l’Académie française Epinglé dans les Pandora Papers «Il a aussi eu une carrière politique, avec une candidature à la présidence du Pérou en 1990, résolument à droite. Il y a affirmé des opinions libérales controversées, qui heurtaient une bonne partie de l’électorat.»

http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/...

« Le thème central de ce roman, conduit au rythme haletant des expéditions, est la dénonciation de la monstrueuse exploitation de l'homme par l’homme.
Roger Casement (1864-1916) découvre l’injustice sociale au fil de ses voyages au Congo et en Amazonie. Au rêve d’un monde sans colonies qui guidera son combat s’ajoutera, comme son prolongement nécessaire, celui d’une Irlande indépendante. Tous les deux marqueront la trajectoire de cet homme intègre et passionné dont l’action humanitaire deviendra une référence incontournable mais que son action politique mènera à un destin tragique.
Après l’assassinat de Leónidas Trujillo, le dictateur de la République dominicaine, dans La fête au Bouc, puis les derniers jours de la féministe Flora Tristan dans Le Paradis – un peu plus loin (2003), Mario Vargas Llosa fait de nouveau d’une fascinante figure historique un héros inoubliable. »

Un article : https://www.paperblog.fr/5116842/le-reve-du-celte-...
Et au format pdf : le rêve du celte

Les 2 lieux où Casement a enquêté :

Au Congo :
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat_ind%C3%A9p...
« Sur la Boussira, la SAB, avec 150 fusils, obtient 10 tonnes de caoutchouc par mois ; nous, l'État, à Momboyo, avec 130 fusils, en obtenons 13 tonnes par mois. — Alors vous comptez en fusils ? — Partout, chaque fois que le caporal s'en va chercher du caoutchouc, on lui donne des cartouches. Il doit les ramener toutes inutilisées ; ou, à chaque fois qu'il s'en sert, il doit ramener une main droite. » Le problème est que certains caporaux utilisaient les balles pour braconner et ramenaient leurs mains sur des vivants. Et Conan Doyle d'ajouter : « J'ai les photographies d'au moins 20 nègres ainsi mutilés en ma possession » »

En Amazonie :

https://es.wikipedia.org/wiki/Putumayo_(Colombia)
«Un episodio en la historia del Putumayo fue la "fiebre del caucho", época comprendida entre finales del siglo XIX hasta comienzos del siglo XX, en la que la Casa Arana esclavizó y exterminó a miles de nativos de la Amazonía, utilizados como mano de obra para la explotación del caucho. En la actualidad subsisten, sin embargo, diversas comunidades indígenas que resistieron el paso de los conquistadores del siglo XVI, la cauchería y las modificaciones ambientales causadas por la explotación del petróleo y la colonización reciente.»
«Un épisode de l'histoire de Putumayo fut la «ruée vers le caoutchouc», une période entre la fin du 19ème siècle et le début du 20ème siècle, lorsque la maison d'Arana asservit et extermina des milliers d'indigènes de l'Amazonie. pour l'exploitation du caoutchouc. À l'heure actuelle, cependant, il existe plusieurs communautés autochtones qui ont résisté au passage des conquérants du XVIe siècle, de l'usine de caoutchouc et des modifications environnementales causées par l'exploitation du pétrole et la colonisation récente.»

https://www.courrierinternational.com/article/2011...
« La grande exploitation caoutchoutière était divisée en deux domaines, La Chorrera et El Encanto, administrés respectivement par Víctor Macedo et Miguel de Loayza et régentés par quatre cents employés. Pour mieux contrôler les es­claves indiens, les deux domaines étaient à leur tour divisés en vingt sections, chacune comptant dix ou vingt racionales [“rationnels”], c’est-à-dire des contremaîtres ou des hommes de confiance recrutés parmi des Indiens renégats ou des Noirs amenés de la Barbade [et donc sujets anglais] surnommés “les Hyènes du Putumayo”. Le travail consistait à extraire le latex des hévéas de la forêt : au bout de dix jours, les Indiens devaient revenir aux baraquements avec quatorze kilos de latex. On mettait ce qu’ils avaient rapporté sur une balance et si l’aiguille n’atteignait pas le poids exigé, ils étaient fouettés jusqu’au sang et on leur coupait les tendons. Parfois, on les fusillait. ...»

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