Sortir de l'histoire officielle

    


Auguste Blanqui L'enfermé
http://www.amourier.com/622-l-enferme.php

En quatrième de couverture, ce texte de François Bon :
«J’ai littéralement dévoré la vie de Blanqui comme on lit un Dostoïevski. Geffroy se régale aussi : partant dans des accumulations (extraordinaire liste des clubs de la Constituante), reconstituant les lieux avec détail (ses phrases me hantent chaque fois qu’on s’offre la descente dans les abîmes secrets du Mont-Saint-Michel), et sur-tout dépliant cette tranche d’histoire qui nous est si mal connue, celle qui va de la révolution de 1830 à celle de1848. Et c’est tellement plus fort, à suivre un acteur réel, que ce qu’en reconstruit Flaubert dans L’Éducation sentimentale. On pleurerait de rage aux tristes épisodes de la vie de Blanqui, bouc-émissaire de tous les malheurs de son temps, enfermé d’avance chaque fois que la société bouge, et on pleure pour de vrai à l’évasion manquée deBelle-Île. On hait Barbès et ses compromissions, et on admire encore plus Blanqui quand il surgit dans je ne sais quel club, au soir des fusillades de 1830, en criant : – Enfoncés, les Romantiques !»

Un article en défaveur de Blanqui https://fr.theanarchistlibrary...blanqui-ou-l-insurrection-d-etat
En pdf sur unprolospecule Blanqui ou l’insurrection d’Etat
Tiré de cet article en guise d'introduction et de conclusion : « certains s’évertuent ... de remettre à l’honneur ce nom qui semblait destiné à l’oubli. ... Face à l’effondrement toujours plus impétueux de cette société, face à l’extension permanente du feu des émeutes, ils se sont rendus compte qu’il était plus probable (et aussi plus désirable) que se cache une insurrection qui vient au coin de la rue qu’une victoire électorale de l’extrême-gauche (qui se retrouverait par ailleurs à devoir gérer et résoudre une situation dont aucune issue ne serait indolore). Sans cela, ils auraient couru le risque de laisser le champ libre à ces rustres d’anarchistes, les seuls à n’avoir jamais abandonné les perspectives insurrectionnelles, même lors des années les plus grises de la pacification sociale. Ces autoritaires se sont aussi rendu compte que les sinistres ancêtres de la critique sociale, leurs soi-disant « classiques », ne pouvaient leur être d’aucune aide, vu qu’ils ont perdu leur éclat depuis longtemps déjà. Après leur avoir dressé des autels pendant plus d’un siècle, après avoir fait de leur pensée des phares lumineux au milieu d’une bourrasque révolutionnaire qui a terminé par le plus honteux des naufrages, leurs noms n’offrent désormais plus aucune garantie. Au contraire, ils provoquent de véritables phénomènes allergiques de rejet. Blanqui l’oublié, ce grand représentant de l’insurrectionalisme autoritaire, présente à l’inverse toutes les caractéristiques pour servir de référence historique alternative, originale, charismatique, à la hauteur de l’époque qui vient.
...
Comme chacun le sait désormais, Clémenceau fera effectivement une grande carrière, devenant d’abord sénateur, puis ministre de l’Intérieur, et par deux fois Président du Conseil. C’est à force de sanglantes répressions de grèves et de révoltes qui culmineront par plusieurs massacres de prolétaires, à force de chasses sans pitié aux subversifs de tous bords, sans parler de son interventionnisme lors de la Première guerre mondiale, qu’il gagnera le surnom de « premier flic de France ». On ne peut pas dire que Blanqui ait été très clairvoyant lorsqu’il a justement demandé au futur chef de la réaction de devenir le chef de la révolution ! Mais au fond, ce n’est pas si étrange. Il avait vu en Clémenceau l’étoffe du leader politique, du condottiere. Il ne parvenait pas à comprendre que le pouvoir est la tombe de la révolution.Voilà pourquoi nous n’avons aucune raison de rendre hommage au cadavre de cet aspirant dictateur. Au-delà peut-être d’un slogan et d’un livre, sa mémoire reste puante. Puante comme sa puissance d’État-major, son style militaire, son esprit de caserne, sa détermination en tenue camouflage (« ses amis étaient convaincus que la personnalité dominante en lui était celle d’un général », écrivait le bon Dommanget). Que ses admirateurs, vieux ou nouveaux chefs de file du parti de l’insurrection d’État aillent donc fouiller dans sa tombe, pour en respirer les miasmes avec émotion. Avec les tremblement telluriques de ces derniers temps, qui sait s’ils ne finiront pas ensevelis aux côtés de leur Maître – l’éternité par la fange.»

Extraits et remarques de l'À propos de Bernard Noël :
Page 9 «A quoi tient l'aura grandissante de Blanqui encre 1830 et 1870 ? Au fait que, contrairement aux socialistes français du début du XIXe siècle, tous idéalistes comme Saint-Simon ou Fourier, Blanqui développe, à partir des philosophes des Lumières. une doctrine matérialiste dont s'inspirent des milliers de militants ouvriers jusqu'aux Communards. Cette "doctrine'' n'a jamais été systématisée parce qu'elle était plus soucieuse de pratique immédiate que de théorie. Elle croyait qu'un dynamisme naturel anime le corps social et le pousse à combattre l'oppression exercée par les privilégiés détenteurs des moyens de production et par conséquent du pouvoir. Blanqui pensait que la révolution se développerait ainsi selon une exigence qui, par étapes, conduirait la classe ouvrière vers le communisme.
Comment en arrive-t-on là ? Pour Blanqui, il va de soi que la révolution, si elle n'est pas fortifiée par l'éducation, est condamnée car le pouvoir battu reprendra vite la direction des affaires. Il n'a cependant pas théorisé une phase intermédiaire, celle qui verrait un contre-pouvoir prendre le pouvoir tout en demeurant un contre-pouvoir. Peut-être n'a-t-il pas posé ce problème qui, depuis lors, a ravagé toutes les révolutions réussies, parce qu'il n'a jamais pris ni exercé le pouvoir. Deux seuls autres grands révolutionnaires se sont trouvés dans une situation comparable : Antonio Gramsci et Victor Serge, les autres ont pris le pouvoir et - de Lénine et ses successeurs à Fidel Castro ont oublié de le contrer dès qu'ils l'ont exercé.»
10 «Dès que l'égalité devient la règle générale, la prise de conscience qui l'accompagne rend insupportable l'exploitation des deux sources de la richesse sociale : l'intelligence et le travail. ''Légalité, écrit Blanqui, tue l'égoïsme et ne vie que de dévouement." Il précise plus loin : '' Le travail, c est le peuple ; l'intelligence, ce sont les hommes de dévouement qui le conduisent..." Et voilà que s'éclaire le rôle du dévouement dans la poursuite de l'action révolutionnaire puisqu'il est la qualité des ''déclassés " qui secondent le peuple dans sa libération. D'ailleurs, précise Blanqui, '' L'intelligence n'a de puissance réelle qu'à la condition d'être morale, c'est-à-dire utile aux masses." Tout nous porte à déduire de cette phrase la nature de l'engagement qui caractérisa la vie de Blanqui.» Sauf, je rajoute, si ce n'est que l'égalité de droit et non de ressources.
Extraits du texte : (Chapitres et sous-chapitres entre parenthèses)
De cette lecture j'ai eu une description du bagne du Mont Saint-Michel et des évènements qui ont bouleversés ce 19ème siècle.
C'est l’œuvre d'un écrivain, l'un des membres fondateur de l'Académie Goncourt. Les descriptions lyriques, par exemple de la baie du Mont Saint-Michel, ne font pas références à des écrits de Blanqui. Ce dernier a-t-il vu ces paysages avec les sentiments décrits ?
J'en ai appris l’existence page 55 (I-13) de cette guerre en 1823 sous Louis XVIII contre les libéraux espagnols pour remettre dans ses droits divins leur roi. Des français se sont opposés dans les Pyrénées à l'entrée des troupes interventionnistes le payant pour certains de leur vie. Et que déjà des européens se sont joints aux constitutionnels espagnols contre cette intervention étrangère.
Et que Chateaubriant est un coquin en glorifiant cette intervention. Extrait de la page Wikipédia précédement citée «Chateaubriand, ministre des Affaires étrangères du gouvernement Villèle (du 28 décembre 1822 au 6 juin 1824), déclara dans ses Mémoires d'outre-tombe : « Enjamber d'un pas les Espagnes, réussir là où Bonaparte avait échoué, triompher sur ce même sol où les armes de l'homme fantastique avaient eu des revers, faire en six mois ce qu'il n'avait pu faire en sept ans, c'était un véritable prodige ! »»
86(II-10) «... une idée de son ardeur à la fois enthousiaste et désenchantée par un bizarre mélange. de son style corrosif de cette époque de 1831, voici une lettre de Blanqui, probablement écrite en prison : «Il y a des hommes estimables et éclairés dans tous les partis et dans toutes les classes, même parmi les voleurs, et vous n'en doutez pas. Ce n'est donc un argument pour aucune classe. Enfin, nous ne crachons à la figure de personne, nous n'avons jamais appelé misérables les bourgeois, si ce n'est entre nous républicains, et point par la presse. Seulement, ils peuvent se douter que nous le disons. Mais, eux, ils nous traitent de scélérats, de brigands, etc., etc., dans les journaux. Ils mettent la baïonnette au bout du fusil, oui, mais pas pour des injures que nous n'avons pas dites, mais par haine pour des opinions qui valent bien les leurs, car ils n'en ont point. Ils mettent la baïonnette au bout du fusil et ils assassinent des hommes désarmés, ils assassinent avec le raffinement de férocité qui ne se trouve pas dans des soldats mercenaires ou incivilisés. Ils mettent la baïonnette au bout du fusil, parce que nous n'avons ni fusils ni baïonnettes, ayant déposé tout cela après victoire gagnée.
Ils sont sortis de leurs caves, eux, après cette victoire gagnée par nous, ils se sont organisés, armés. ils se sont emparés du pouvoir, ils ont dissimulé. flatté, caressé. tant que l'écho de la fusillade pouvait encore retentir dans le lointain, et maintenant ils assassinent ceux qui se sont battus deux louis et qui ont mis bas les armes après. Ils crient : À l'eau ! À la lanterne, les décorés de Juillet ! Ils arrachent nos cocardes, jettent à la rivière les arbres de la Liberté, assassinent, massacrent. À cela vous direz, et avec raison : Tant pis pour vous, vous êtes des niais et des dupes ; vous avez tiré les marrons du feu pour d'autres ; il fallait les manger à la bonne heure. Quant à notre petit nombre, vous vous trompez ; pour notre peu d'union, c est vrai....»»
86-87(II-10) ««...vous venez me parler de progrès successifs, de marche froide et lente, d'utopies d'union, de réconciliation, de fusion , d'une vraie République de Pluton. de fraternité, d'éducation. J'ai peine à croire que vous ne vous moquez pas de moi. Vous vous apitoyez sur la pléthore des uns et sur la maigreur des autres, presque à même dose. Je vous déclare que je n'ai point de pitié pour la Plénitude et l'ennui. Le meilleur remède contre la plénitude, c'est la saignée. C'est le remède connu et toujours employé.»»
87(II-10) «... l'enterrement du général Lamarque. qui met un instant Paris au pouvoir d'une insurrection rapide, les 5 et 6 juin 1832.
Le canon dut battre le cloître Saint-Merri où les hommes commandés par Jeanne restèrent pendant deux jours derrière le tas de pavés, fondant des balles et fabriquant des cartouches. C'est la bataille où le pouvoir courut le plus grand risque.»
L’insurrection républicaine à Paris en juin 1832 avec un monument où sont oubliés les combattants de la liberté et un article où l'auteur détaille les origines populaires de ces combattants Le cloître Saint-Merry (5-6 juin 1832). Histoire d'un cheminement vers l'oubli, 1832-1862 en pdf sur unprolospecule Le cloître Saint-Merry (5-6 juin 1832)
103(II-18) «Le pouvoir de Louis-Philippe est sur le point de sombrer à ce moment précis. sans les ministres d'alors, Soult, Thiers, Berthe, Guizot, qui savent prendre les devants. agir, désorganiser l action des adversaires.
L'insurrection de Lion vaincue, l'insurrection de Paris est disloquée pour ainsi dire avant d'avoir pris corps, la Tribune supprimée, les membres du Comité de la Société des Droits de l'Homme arrêtés. Il y eut des hésitations chez ceux qui restaient en liberté, des avis contradictoires, des ordres confus. La provocation joue son rôle, le point de ralliement n'est pas visible. Cartel se refuse à prêter le National à la proclamation de la lutte, et cette lutte, mal engagée le 13 avril [1834], se termine, le 14, par la défaite de quelques hommes qui avaient élevé au hasard les barricades du quartier du Temple, dans le dédale des rues Beaubourg, Transnonain, Aubry-le-Boucher, Geoffroy-Langevin. aux Ours, Maubuée, Grenier-Saint-Lazare. L'épilogue fut le massacre au numéro 12 de la rue Transnonain, boucherie après la bataille, tragiquement immortalisée par Daumier, où les hommes, les femmes les enfants, les vieillards, les malades furent massacrés par les soldats victorieux.»

172(III-39) «La voiture disparut dans l'immensité des grèves, laissant dans la brume la terrible bâtisse, les cachots, les loges de correction, tout ce décor sinistre, où, malgré tout s'est élaborée la cause de l'humanité, où un droit nouveau a germé dans la pierre, a pu croître. On le sait, on le comprend, et j'ai bien aimé, un jour, la réponse faite par un vieux soldat, gardien du Mont-Saint-Michel, à un conseiller municipal paysan qui raillait, injuriait, devant les cachots de Barbès, de Blanqui, répétant, disait-il, les propos du curé de chez lui.
Eh bien ! dit le gardien, plus renseigné que le curé, c'est parce que Barbès et Blanqui ont été mis dans ces cachots que vous êtes conseiller municipal.»
201-202(IV-5) «Comment Balzac n'a-t-il pas deviné, pendant les années de Louis-Philippe. l'avènement de cette foule de Paris excitée ? Tous ces discoureurs de clubs, ces chansonniers, ces prophètes, ces artisans, cous ces faiseurs de systèmes existaient, devaient être perceptibles à la vision du romancier génial. Il fut occupé surtout à peindre l'aristocratie, la bourgeoisie petite et grande, de la Restauration, le petit Commerce. Il n'a pas eu le temps de dire davantage, il a seulement évoqué les républicains chevaleresques de 1830, Michel Chrestien, Daniel d'Arthez, et cet esclave du régime louis-philippiste, Z. Marcas. Le peuple on le prouve chez Eumène Sue,  dans Le Juif errant avec Agricol, futur apôtre de 48, avec la touchante Mayeux, la reine Bacchanal, Jacques Hennepont, Couche-tout-nu (dont nous avons trouvé le sobriquet à Blois, lors de l'internement de Blanqui) et l'abbé Gabriel, précurseur lui aussi des évangéliques de 48...»
235(IV-16) «A Paris. sur la liste de trente-quatre noms, qui comprenait vingt ouvriers et quatorze démocrates connus, aucun ouvrier ne fut élu. Les membres du gouvernement et les ministres furent nommés, Blanqui et Cabot exclus. L'Assemblée nouvelle est réactionnaire, et le commencement de l'ère législative est marqué par les événements de Rouen [un article en pdf sur unprolospecule EMEUTES ROUENNAISES D'AVRIL 1848]qui donnent leur sens aux élections. C'est la première brutale manifestation de la garde nationale de la province, une préface aux affaires de Juin, des coups de feu non seulement sur les manifestants ouvriers, mais tirés au hasard sur les femmes enceintes, les enfants, les mères qui emportent les cadavres de leurs petits. On tire sur des ambulances, on achève des blessés, on tue une femme qui allaite C'est une fureur, un carnage. Le canon intervient contre les ouvriers sans armes. qui n'ont pour se défendre que les pierres des barricades hâtivement élevées, et qui doivent capituler, s'enfuir dans la campagne, où la poursuite ressemble à une battue à laquelle prennent part les bourgeois de Rouen avec leurs fusils de chasse. Des arrestations suivent, et la terreur.»
238 à 272 (IV-18 à 27) Journée du 15 mai et la fin des ateliers nationaux dont la répression sanglante des manifestations contre cette fermetures les journées de juin 1848.
256 (IV-20) «Il y a eu 12000 arrestations, et, les calculs les plus modérés, 400 à 500 insurgés pris et fusillés sur les barricades, 3000 fusillés après le combat. Il y eu 4348 prisonniers désignés pour la transportation. Les dépenses occasionnées par la répression s'élevèrent à 76 millions.» À comparer aux 3 millions de secours aux indigents votés par l'Assemblée le 25 mai (page 253 (20)).
349-350 (VI-11) Références au Prince de Machiavel.
372 (VI-22) «En 1866-1867, le travail de propagande commença lentement, sourdement, derrière la façade du régime impérial, et il fut mené avec une prudence et une sûreté sans pareilles. Sous le Paris visible, donné à la Joie, tout éclatant de lumière, tout bruyant d'une clameur de bombance, un autre Paris, que l'on croyait mort, ressuscite sans bruit, répare ses pertes de sang, refait son organisme. C'est le Paris de la Révolution et de la République qui renaît, se retrouve, reprend conscience de lui-même. Il a fallu quinze années, depuis l'écrasement de juin 1848, pour éveiller des générations nouvelles d'ouvriers, non plus à l'espoir, mais à la volonté d'une transformation sociale. Cette fois, c'est une classe séparée qui s annonce, qui va rédiger ses cahiers, c'est un mouvement réalisée qui se définit, après les dures leçons données au populaire enivré de sentiment et croyant aux bonnes volontés des dirigeants et des possesseurs. La philosophie positive et la littérature de vérité ont créé une atmosphère qui s'étend, qui envahit les esprits par le pouvoir des paroles répétées et par l'imprimé des journaux. Le romantisme a achevé son évolution, fait sa grande transformation, visible dans l’œuvre de Hugo. et le poème des Orientales est devenu le romancier des Misérables Toutes les pensées et douces les énergies, encore une fois. vont au rendez-vous de l'action.»
521 à 524 (VIII-21-22) Description d'une multiplicité des Mondes parallèles arborescents, foisonnants, par Blanqui comme certaines théories répondant aux questions apportées par la physique quantique.
584 (X-10) «Dans un article hommage de Ranc le 3 janvier 1881 dans le Voltaire : «Oui, d'homme d'État, je ne m'en dédis pas ! Il savait manier les hommes, il était né pour gouverner. Dans nos longs entretiens, quand il avait cessé de m'interroger, il me ravissait par son entente des affaires, par la justesse de ses vues, par la profondeur de ses aperçus sur la politique générale. Patriote ardent. il était de la grande école française, celle d'Henry IV, de Richelieu, de la Convention. Il ne donnait pas dans les rêveries humanitaires et les rêveries cosmopolites.» Dommage

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