- Margarita Ortega Valdès - De la page espagnole «révolutionnaire anarchiste mexicaine. Née dans une famille aisée, elle rejoint le Parti libéral mexicain (PLM) et participe à la rébellion de Basse-Californie de 1911. Avec sa fille, Rosaura Gortari, elle participe à la prise de Mexicali du Porfiriato, gérant les approvisionnements des rebelles magonistes. . Lorsque la ville fut reprise par les forces de Francisco I. Madero, elle fut exilée du Mexique vers l'Arizona, où sa fille mourut. Elle est ensuite retournée au Mexique pour combattre Victoriano Huerta, mais a été capturée, torturée et abattue. Après sa mort, Ortega a été saluée par le leader du PLM Ricardo Flores Magón comme une femme révolutionnaire exemplaire, changeant l'attitude de la direction du parti envers la participation des femmes à la révolution mexicaine.»
- Hilde Radusch - «Résistante allemande contre le national-socialisme, une politicienne communiste et sociale-démocrate, une militante des droits des femmes et une militante lesbienne. Elle fut placée en « détention préventive » le 6 avril 1933 en raison de son travail au KPD et fut emprisonnée pendant six mois dans la prison pour femmes de la Barnimstrasse. Fin septembre 1933, elle fut libérée avec plusieurs autres « politiques » et s'installa à Berlin-Mitte. Comme elle n'était plus en mesure de travailler à la poste en tant qu'ancienne membre du KPD, elle est allée chez Siemens en tant qu'ouvrière et a travaillé illégalement pour le parti dans l'entreprise…. En août 1944, un détective qui était un ami d'Eddy l'avertit de son arrestation imminente dans le cadre de la soi-disant opération Grid. Elle et son partenaire ont donc pu se cacher à Prieros, où ils ont vécu cachés dans un belvédère jusqu'à la fin de la guerre. Au moment où Berlin fut libérée par l’Armée rouge, elle mourait presque de faim.» https://de.wikipedia.org/wiki/Hilde_Radusch - Julio Chavez Lopez (voir page 37 de La révolution mexicaine - éd Syllepse.) https://fr.wikipedia.org/wiki/Anarchisme_au_Mexique
- Page Moscou prison funestement célèbre pas Staline mais déjà par le Tsar où à été emprisonné Makhno https://fr.wikipedia.org/wiki/Boutyrka
- Page Heymarket Martyrs' Monument Rajouter dans les tombes proches Voltaitrine de Cleyre et Emma Goldman. Plus liens dans la page du massacre de même nom.

- August Hermann Zeis - «(Pseudonymes : Jean Barlatier, Georg Fraser) écrivain allemand. ... Malgré son « affinité juive » et son appartenance au SPD, il a pu poursuivre son œuvre littéraire même après l’arrivée au pouvoir des nationaux-socialistes ; Cela a probablement été rendu possible grâce à la protection du responsable culturel nazi Hans Hinkel, qui a accordé à Zeiz les autorisations spéciales nécessaires jusqu'en 1943. À l'automne 1935, Zeiz émigre avec sa famille en Autriche, ... Les dirigeants nationaux-socialistes ont [arrêté] Zeiz ; Il passa la période de décembre 1938 à mars 1939 en garde à vue. Après sa libération, il a mené une double existence en tant que dramaturge à succès et aide secret à l'évasion des Juifs menacés. Il a utilisé les locaux de la maison d'édition Marton, aujourd'hui abandonnée, comme une sorte de centre de presse à travers lequel il entretenait des contacts avec l'étranger, notamment avec l'aide de son fils Thomas Sessler, qui a émigré en Suisse…. au début de 1943 ... les activités d'aide à l'évasion de Zeiz furent découvertes. De février à juillet 1943, il fut de nouveau en garde à vue ; Il fut ensuite détenu au camp de concentration de Dachau jusqu'en janvier 1944. Sa femme a également été arrêtée ; Elle meurt dans le camp de concentration d'Auschwitz en 1943. Après sa sortie du camp de concentration, Zeiz rejoint le groupe de résistance autrichien « O5 » ; À partir de décembre 1944, il fut membre du Comité des Sept, l'état-major de l'O5, qui, grâce à ses contacts avec l'avancée de l'Armée rouge, contribua à empêcher dans une large mesure la destruction de Vienne. ... il se vit refuser un plus grand succès littéraire et ses activités de résistance pendant le Troisième Reich furent à peine reconnues en Autriche.»

- George Rudé «historien marxiste britannique, spécialisé dans la Révolution française et « l'histoire vue d'en bas », en particulier l'importance des foules dans l'histoire. ... Rudé a fait un voyage en Union soviétique avec des amis. À son retour, il était un « communiste et antifasciste engagé », .... Zeiz a passé les dernières années de sa vie à Berlin. En 1935, Rudé rejoint le Parti communiste britannique. ... Lorsque la guerre éclate, il rejoint les pompiers de Londres où il éteint les incendies causés par les bombes allemandes. Il obtient son doctorat à l'Université de Londres en 1950 pour une thèse sur l'action des foules pendant la Révolution française. ... Son premier livre, The Crowd in the French Revolution, devient rapidement un classique. Rudé s'implique activement dans le parti communiste, une affiliation qui lui cause de nombreuses difficultés au cours de sa vie. En 1949, il est relevé de ses fonctions à St Paul en raison de ses tendances communistes. ... devenu un historien britannique de premier plan de la Révolution française. Rudé a contribué à la vision de l'histoire « d'en bas », qui est l'histoire du point de vue des opprimés. Il s'est concentré en particulier sur ceux qui ont participé aux émeutes et aux rébellions. Eric Hobsbawm lui attribue le mérite d'avoir été le seul membre du groupe des historiens du parti communiste anglais à avoir écrit l'histoire du XVIIIe siècle, explorant le « no man's land chronologique entre les deux sections les plus florissantes du groupe ». ... Évincé en Grande-Bretagne, Rudé a cherché des opportunités à l'étranger. En 1959, il a été nommé maître de conférences à l'université d'Adélaïde, dans la ville natale de sa femme Doreen. Il a profité de son séjour en Australie pour faire des recherches sur les prisonniers politiques britanniques et irlandais du XIXe siècle transportés en Australie en tant que condamnés. Cela a donné lieu plus tard à son livre Protest and Punishment: The Story of Social and Political Protesters Transported to Australia, 1788–1868. Il a été membre fondateur de l'Académie australienne des sciences humaines en 1969.» en ajoutant un commentaire sur les Gordon riots (voir Beau comme une prison qui brûle de J. Van Daal)

Page sur Gabriel Besson à réaliser. Nommé "Affaire de Cérest" par René Char cité dans "L'éclair au front, La Vie de René Char"

Traduire en français https://en.wikipedia.org/wiki/Maria_Nikiforova
Millénarisme https://fr.wikipedia.org/wiki/Mill%C3%A9narisme

Créer la page pour Max Tzwangue FTP-MOI. Max Tzwangue participe à la lutte implacable contre l’occupant, échappe à la répression et aux arrestations. Négociateur pour la CGT de la convention collective de l’habillement, membre du Parti communiste français, il est frappé de plein fouet par les « révélations » du rapport Khrouchtchev en 1956. Il quittera le PCF et changea de vie

https://fr.wiktionary.org/wiki/mental
Pour le Dictionnaire historique de la langue française Le Robert 2012 «Adjectif emprunté (1374, ''mentele'', au féminin)au bas latin ''mentalis'' «de l'âme, de l'intellect» ...»
Et pour le CTRL-CNRS «Étymol. et Hist. 1374 fém. mentele «qui se fait dans l'esprit» (J. Goulain, Trad. du Ration. de G. Durant, B.N. 437, fo35a ds Gdf. Compl.); 1457 fém. mentalle (Crainte amour. et beatit., Ars 2123, fo29 ro, ibid.); 1893 subst. (Blondel, Action, p.157). Empr. au b. lat. mentalis «de l'intellect, de l'âme» (blâmé par St Augustin) dér. de mens «principe pensant, activité de la pensée, esprit, intelligence» sur le modèle de spiritus/spiritalis, corpus/corporalis. »
Donc le suffixe «al» n'est pas d'origine sanskrit.

Demande prise en compte le 9 janvier 2022 à 10h44. Ce rajout du sanskrit est resté plus de 4 ans. Où vont-ils chercher ce genre de fantasme ? Wikipédia m'a proposé de faire cette modification, d'abord c'est une usine à gaz la réalisation de pages et les modifications, de plus je ne suis pas linguiste.
 Sinon le lien vers le suffixe "al" fait un rapprochement avec « alis » (qui serait aile en latin), je ne vois pas le rapport. On peut imaginer ce genre de rapprochement entre "mens" (esprit) et "aile" mais ça ne marche avec "minéral". Ce "al" serait devenu "el", pourtant pour le CTRL-CNRS c'était ainsi avant. Il y a des allées et retours qui ne s'expliquent que par des perceptions coutumières. Ces dernières évoluent suivant des rapprochements culturels et ou des modes pas toujours faciles à percevoir ultérieurement.

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Le kitsch historique pour Javier Cercas dans le roman L'imposteur est la négation de tout ce qui dans l'existence humaine s'avère inacceptable, caché derrière une façade de sentimentalisme, de beauté frauduleuse et de vertu postiche. En deux mots, le kitsch historique est un mensonge narcissique. «...même si toutes les données factuelles que Marco manie étaient vraies, tout son discours est du pur kitsch, c'est-à-dire, du pur mensonge ; ou, plus précisément : il en est ainsi paré que tout Marco est du pur kitsch.»»

Idéologue fasciste
«Pour Traian SANDU, chercheur en histoire à Sorbonne université, Nicolas Iorga a été une référence au socialisme national-chrétien de 1919. Codreanu [créateur de la Légion de l'archange Michel, la Garde de fer] rappelle l'influence sur lui en évoquant sa formation secondaire «Comme bagage intellectuel, j'avais les connaissances qu'on m'avait enseignées au lycée. ... Mais, en plus des ouvrages classiques roumains, j'avais lu tous les articles du Semănătorul (Le Semeur) et du Neamul Românesc (La Nation roumaine), les journaux de N. Iorga et de A.C. Cuza.² ... Sous une forme élevée, ces articles affirmaient les trois impératifs de vie du peuple roumain : 1. L'union de tous les Roumains. - 2. Le relèvement de la classe paysanne par l'accession à la propriété et aux droits politiques. - 3. La solution du problème juif. Deux maximes figuraient en manchette sur toutes les publications nationalistes de ce temps-là. L'une de N. Iorga: „La Roumanie aux Roumains, rien qu'aux Roumains, et à tous les Roumains.‟ L'autre de A.C. Cuza : „La nationalité est la force créatrice de la civilisation humaine, la civilisation est la force créatrice de la nationalité.‟»3.
Et ennemi idéologique de Panaït Istrati «Et qui combattiez-vous ? Je vous le donne en mille. Eh bien, M. Jorga , le déclencheur des hooliganismes de l'époque, à côté de son collègue universitaire A.-C. Couza, ce dernier, aujourd'hui encore l'organisateur de tous les banditismes antisémites.»4.»
et viré "démocrate" au chapitre Carrière politique
Notes et références
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2 https://ro.wikipedia.org/wiki/Alexandru_C._Cuza «professeur d'économie politique à l'Université de Iasi, homme politique d'extrême droite, militant antisémite et membre titulaire de l'Académie roumaine depuis 1936.»
3 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00550328/document [archive] consulté le 6 avril 2022.
4 Les Nouvelles Littéraires 1927 - Panaït Istrati - Le vagabond du Monde - Éditions plein chant.