Sortir de l'histoire officielle

    


Les totalitarismes
En entrée en matière peut-on rapprocher Marx et Hitler ? Pas comparable. Hitler théorise et pratique. Marx n'a que théorisé ce que les bolcheviks ont utilisé en interprétant. L'un a écrit et mis en pratique son désir de destruction d'humains, l'autre n'a qu'imaginé la disparition d'une classe de la société. C'est vrai que les deux jugeaient utile l'État pour une dictature. L'une clairement établie l'autre s'établissant sur une illusion, la dictature du prolétariat qui n'a jamais existée et qui n'existera jamais. Mon engagement communiste passé ne s'établissait pas sur la haine de l'autre. Même si j'étais dans l'erreur, rapprocher Marx et Hitler revient à m'insulter.

Dans toute dictature, Staline, Hitler ... le pouvoir utilise les truands, ici la dictature du capital pour la préparations du débarquement de la baie des Cochons à Cuba «Le 17 mars 1960, ... En août, la CIA contacta la mafia (ou Cosa nostra) américaine à Chicago pour tenter d'élaborer un projet d'assassinats simultanés de Fidel Castro, Raúl Castro et Che Guevara. En échange, si l'opération réussissait et qu'un gouvernement pro-américain était restauré à Cuba, les États-Unis s'engageaient à ce que la mafia y récupère « le monopole des jeux, de la prostitution et de la drogue ». En effet, pour l'organisation criminelle, la révolution cubaine avait été la plus grave et coûteuse déroute de son histoire avec une perte chiffrée 100 millions de dollars annuels soit l'équivalent de 900 millions de dollars en 2013 après la fermeture des casinos, des lieux de prostitution et de trafic de stupéfiants.»

Louis XIV le massacreur Estampes sur la campagne de Hollande en 1672

L'opposant haï Les massacres racistes de 1940

Fascisme et nazifascisme

Nazisme et Nazisme et surmoi  Heidegger, Eliade, Alain ...

Soutiens économiques aux dictatures Ford, Bayer, Kissinger, Thatcher ...
Dont la stratégie du choc

Le Livre noir du communisme Controverses

Bolcheviks-Staline
Révolutions de 1917 - Vassili Grossman

Che Guevara Homophobe et psychopathe

Chine nazifasciste fin 20e début 21e siècle


Le Livre noir du communisme. Crimes, terreur, répression
« Dissensions entre auteurs
La moitié des auteurs — Nicolas Werth, Jean-Louis Margolin et Karel Bartošek — ont protesté publiquement contre le chapitre introductif de Stéphane Courtois, ils y refusent son rapprochement du génocide nazi et de la répression stalinienne, ainsi que le calcul du nombre de victimes, dont ils contestent à la fois l’opportunité et les chiffres utilisés, qui pour certains sont leurs chiffres mais augmentés sans justification par Courtois.
Dans un article du Monde daté du 14 novembre 1997, Nicolas Werth et Jean-Louis Margolin listent les principaux points mis en cause du chapitre introductif : « la centralité du crime de masse dans les pratiques répressives des communismes au pouvoir ; l'assimilation entre doctrine communiste et mise en application de celle-ci, ce qui fait remonter le crime jusqu'au cœur même de l'idéologie communiste ; l'affirmation qui en découle de la grande similitude du nazisme et du communisme, tous deux intrinsèquement criminels dans leur fondement même ; un chiffrage des victimes du communisme abusif, non clarifié (85 millions ? 95 ? 100 ?), non justifié, et contredisant formellement les résultats des coauteurs sur l'URSS, l'Asie et l'Europe de l'Est (de leurs études, on peut tirer une « fourchette » globale allant de 65 à 93 millions ; la moyenne 79 millions n'a de valeur que purement indicative) ».
Ils ajoutent : « On chercherait cependant en vain, dans le chapitre introductif comme dans le reste de l'ouvrage, la discussion serrée et approfondie que nécessiteraient des questions aussi complexes et délicates que la comparaison entre fascisme et communisme, ou la présence de potentialités terroristes dans la théorie marxiste elle-même. Nous n'entendons pas disqualifier ces indispensables questionnements. Mais, tout simplement, notre livre ne porte pas là-dessus ».
Nicolas Werth, dans un entretien accordé à L'Humanité avait ajouté qu'«il [Nicolas Werth] s'était publiquement démarqué de l'idée contenue dans la préface rédigée par Stéphane Courtois selon laquelle le communisme serait par essence criminogène». Jean-Louis Margolin va dans le même sens : « Cela [l'analyse de Stéphane Courtois] revient à enlever son caractère historique au phénomène. Même si le terreau communiste peut aboutir aux crimes de masse, le lien entre doctrine et pratique n'est pas évident, contrairement à ce que dit Stéphane Courtois ». Werth et Margolin reprochent à Courtois son « obsession d'arriver aux cent millions de morts ». N. Werth décompte ainsi quinze millions de victimes en URSS, alors que Stéphane Courtois, dans son introduction, parle de vingt millions ; J.-L. Margolin explique « qu'il n'a jamais fait état d'un million de morts au Vietnam », contrairement à ce qu'écrit Courtois.
Des auteurs menacent de poursuite l'éditeur avant la sortie de l'ouvrage. Jean-Louis Margolin obtient le changement du titre, qui devait être Le Livre des crimes communistes, et l'adjonction du sous-titre.
Karel Bartosek et Nicolas Werth démissionnent de la revue Communisme fondée par Stéphane Courtois, Bartosek dit protester non contre le livre mais pour refuser « absolument toute approche idéologique et politique de ces souffrances ».
S. Courtois répond que « c'est une équipe entièrement de gauche et qui, parce qu'elle est de gauche, se pose des questions ».
La question des crimes du communisme
Un certain nombre de critiques du Livre noir considèrent que celui-ci emploie le terme vague de « communisme » pour se rapporter à une grande variété de systèmes : « cadre réducteur » selon Alain Blum. Il s'agit d'un « livre provocateur » pour Lilly Marcou qui juge l'introduction de Stéphane Courtois « insensée ». D'autre part, il n'est pas avéré que les régimes mentionnés dans le livre aient été communistes. Ce n'est pas une idée nouvelle : la question de savoir si les États concernés sont réellement allés vers le communisme est ouverte depuis leur apparition. Stéphane Courtois propose, pour justifier le titre, une définition d'un « État communiste » comme « un État gouverné par un seul parti qui se proclame ouvertement d'inspiration marxiste-léniniste ».
L'éditeur et ancien militant communiste Maurice Nadeau, dans La Quinzaine littéraire, considère le livre comme « une escroquerie » : « l'escroquerie réside en ce que ce collectif d'auteurs appelle "communisme" ce qui en est précisément le contraire ». « Où donc ont-ils fait leurs classes ces "historiens" ? Pour quelques-uns, tiens, pardi ! chez Staline précisément ». « Nos "historiens et universitaires" s'obstinent à appeler "communisme" ce qui en bonne langue française et en connaissance honnête de l'Histoire s'appelle "stalinisme", pour les Chinois "maoïsme", pour les Cambodgiens "Khmers rouges". Quand on fait la publicité d'un livre sur des millions de cadavres on n'a pas le droit de jouer sur les mots ».
Le journaliste Gilles Perrault, dans Le Monde diplomatique, précise le fait que l'histoire et les traditions locales ont joué, dans chaque cas, un rôle important, et que le livre regroupe des phénomènes historiques trop différents pour être objet d'une condamnation unique : « Par quelle aberration peut-on englober dans la même condamnation des sandinistes nicaraguayens qui remirent démocratiquement en jeu leur pouvoir et les fous furieux du Sentier lumineux ? ». Il regrette que le livre ne discute pas du rôle des États-Unis dont l'obstruction est selon lui cause d'échec de plusieurs expériences communistes. Il reproche également aux auteurs du Livre noir d'avoir occulté l'importance de la contre-révolution comme facteur d'explication du processus de radicalisation de la terreur dans les systèmes communistes : « Un grand absent : l’adversaire. Chaque expérience communiste est décrite comme si elle se déroulait en vase clos, coupée du monde extérieur. Pourquoi Nicolas Werth s’abstient-il d’évoquer l’interventionnisme étranger acharné à juguler la jeune révolution bolchevique ? ».
À Alain Blum qui qualifie le livre de « négation de l'Histoire », Nicolas Werth répond : « N'existe-t-il pas bel et bien un terreau commun, un noyau dur constitué par des pratiques politiques fondées, dans tous les pays qui se sont réclamés du communisme, sur de larges et terribles séquences répressives, voire, à certains moments, massivement criminelles, sur l'exclusion de catégories sociales entières, sur "une culture de guerre civile", sur l'idée centrale de l'"exacerbation de la lutte des classes" au fur et à mesure que l'on progresse vers le but idéal, sur un certain nombre de mythes modernisateurs porteurs d'une violence extrême contre "un vieux monde" à abattre (y compris dans le Cambodge de Pol Pot qu'Alain Blum oppose abusivement, sur ce dernier point, à la Chine) ? » Il en conclut que « ces similitudes suggèrent que l'objet "système communiste" est bien autre chose qu'une simple catégorie idéologique ».
Pour Stéphane Courtois, qui répond à ses détracteurs, « Les communistes et d'autres critiques soutiennent que l'utilisation du mot « communisme » serait impropre à désigner le régime soviétique et ses extensions. Son emploi refléterait un choix idéologique ou politique. Mais n'est-ce pas les bolcheviks eux-mêmes qui, sous l'impulsion personnelle de Lénine, se sont qualifiés de « communistes » ? En fait, ceux qui contestent cette appellation cherchent, à travers la disparition du mot, à escamoter la réalité des faits […]. Certains sautent le pas et n'hésitent pas à affirmer qu'en raison de la diversité des périodes et des régions le communisme n'a pas existé en tant que phénomène historique fondamental du XXe siècle […]. Mais alors que devient l'argument selon lequel le communisme se différencie notamment du nazisme par son « universalité » ? ».»

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